Revue de Presse
En son temps, Elle, Marie-Claire, Nuptial, … se sont intéressés à mes colliers.
Vous trouverez ici quelques exemples
Un bel hommage du Pôle Bijou de Baccarat – mai 2019
A l’occasion de l’exposition « L’Amour des voyages », du 13 février au 15 septembre 2019, le pôle Bijou de Baccarat organise une exposition où 20 créateurs contemporains rendent hommage à Charles-Nicolas-Sigisbert Sonnini de Manoncourt (1751-1812)
Retrouvez l’article : « L’Amour des Voyages selon Geneviève Cailleteau » sur : https://www.facebook.com/notes/p%C3%B4le-bijou-galerie-un-lieu-de-valorisation/lamour-des-voyages-selon-genevi%C3%A8ve-cailleteau/2797876090229205/
En 2013, un article du 25 MAG reflèta bien mon univers, c’est pourquoi, je me permets de vous le retranscrire ici :« Geneviève est une originale.Ses outils de travail tiennent sur trois fois rien. Son petit balcon lui sert ç la fois d’atelier et de boîte aux trésors.Tout est à portée de main. Les perles, les cornes, les coquillages, les coraux rouge orangé ou blanc nacrés à l’unité sont classés dans des petits pots, accessibles facilement.De longs fils de perles serpentent le long du mur. Les couleurs fusent, les matières surprennent. Le monde de Geneviève est là. Enfin, le monde matériel de Geneviève est là. « J’ai vécu plus de 13 ans au Cameroun, à Douala précisément. J’ai pu pénétrer la culture locale en assistant notamment à des fêtes traditionnelles et tomber amoureuse des perles ornant les parures. Ces fameuses perles, bleues, carmin et blanches, des perles anciennes laissées par les colons. La perle rare, c’est elle ! » lance Geneviève dans son cocon qui ressemble légèrement à un cabinet de curiosités. Des colliers imposants et lourds, chargés d’une histoire à chaque fois évocatrice que Geneviève aime enfiler les unes après les autres sur le câble en acier leur servant de support.« Les colliers me permettent réellement de m’exprimer ». Passionnée par l’histoire des civilisations, les perles de Geneviève lui servent de passerelles pour traverser les âges, rencontrer des gens et laisser parler son imagination. La créatrice utilise toutes sortes de matériaux, parfois improbables, totalement mystérieux. « Regardez comme cette dent de phacochère et ces crayons d’oursins délicatement violacés se marient bien. »Les pierres fines apportent aussi leur touche de raffinement : agate, calcédoine, amazonite, turquoise, lapis-lazuli … Mais la perle reste cependant le grand amour de Geneviève. « C’est vrai ce fut un coup de foudre. Mais il faut savoir qu’il s’agit de verroterie ayant servi de monnaie d’échanges lors du fameux commerce triangulaire établi lors de la traite des noirs, de l’ébène et de l’or. Patinées, elles sont magnifiques avec leurs tons bleu, blanc et carmin. Ces merveilles sont appelées perles à chevrons ou rosetta, car elles tirent sans doute leurs origines de la ville de Rosette en Egypte. Ces perles apparurent dans le delta du Nil pour être ensuite ramenées par les Romains. Elles furent ensuite copiées par les artisans, de la Sérénissime République de Venise. Il s’agit comme les « millefiore », les mille fleurs en italien fabriquées par les verriers de Murano à Venise, de pâtes de verre. Ces dernières, ont les retrouve dans tous les pays qui on été colonisés ; Amérique du Sud, Afrique, Asie … certaines datent du XVe siècle. … Elles sont aisément reconnaissables avec la finesse du verre coloré qui apparait en section et forme des petites fleurs en mosaïques », Geneviève en parlerait des heures.Sa signature. Sa touche perso. « C’est vrai, on en retrouve assez souvent dans mes compositions. J’aime bien composer avec des graines de rudraksha dites aussi de Swhiva du nom de la déesse hindoue. Elles sont enfilées sur les chapelets, c’es très joli. »Article du 25 Mag, du 8 avril 2013
En 2013, un article du 25 MAG reflèta bien mon univers, c’est pourquoi, je me permets de vous le retranscrire ici :
« Geneviève est une originale.
Ses outils de travail tiennent sur trois fois rien. Son petit balcon lui sert ç la fois d’atelier et de boîte aux trésors.
Tout est à portée de main. Les perles, les cornes, les coquillages, les coraux rouge orangé ou blanc nacrés à l’unité sont classés dans des petits pots, accessibles facilement.
De longs fils de perles serpentent le long du mur. Les couleurs fusent, les matières surprennent. Le monde de Geneviève est là. Enfin, le monde matériel de Geneviève est là. « J’ai vécu plus de 13 ans au Cameroun, à Douala précisément. J’ai pu pénétrer la culture locale en assistant notamment à des fêtes traditionnelles et tomber amoureuse des perles ornant les parures. Ces fameuses perles, bleues, carmin et blanches, des perles anciennes laissées par les colons. La perle rare, c’est elle ! » lance Geneviève dans son cocon qui ressemble légèrement à un cabinet de curiosités. Des colliers imposants et lourds, chargés d’une histoire à chaque fois évocatrice que Geneviève aime enfiler les unes après les autres sur le câble en acier leur servant de support.
« Les colliers me permettent réellement de m’exprimer ». Passionnée par l’histoire des civilisations, les perles de Geneviève lui servent de passerelles pour traverser les âges, rencontrer des gens et laisser parler son imagination. La créatrice utilise toutes sortes de matériaux, parfois improbables, totalement mystérieux. « Regardez comme cette dent de phacochère et ces crayons d’oursins délicatement violacés se marient bien. »
Les pierres fines apportent aussi leur touche de raffinement : agate, calcédoine, amazonite, turquoise, lapis-lazuli … Mais la perle reste cependant le grand amour de Geneviève. « C’est vrai ce fut un coup de foudre. Mais il faut savoir qu’il s’agit de verroterie ayant servi de monnaie d’échanges lors du fameux commerce triangulaire établi lors de la traite des noirs, de l’ébène et de l’or. Patinées, elles sont magnifiques avec leurs tons bleu, blanc et carmin. Ces merveilles sont appelées perles à chevrons ou rosetta, car elles tirent sans doute leurs origines de la ville de Rosette en Egypte. Ces perles apparurent dans le delta du Nil pour être ensuite ramenées par les Romains. Elles furent ensuite copiées par les artisans, de la Sérénissime République de Venise. Il s’agit comme les « millefiore », les mille fleurs en italien fabriquées par les verriers de Murano à Venise, de pâtes de verre. Ces dernières, ont les retrouve dans tous les pays qui on été colonisés ; Amérique du Sud, Afrique, Asie … certaines datent du XVe siècle. … Elles sont aisément reconnaissables avec la finesse du verre coloré qui apparait en section et forme des petites fleurs en mosaïques », Geneviève en parlerait des heures.
Sa signature. Sa touche perso. « C’est vrai, on en retrouve assez souvent dans mes compositions. J’aime bien composer avec des graines de rudraksha dites aussi de Swhiva du nom de la déesse hindoue. Elles sont enfilées sur les chapelets, c’es très joli. »
Article du 25 Mag, du 8 avril 2013